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Madagascar un monde à part 

 - Faune  de Madagascar- 

Une nature unique au monde: La richesse et la diversité sont les deux représentants de la nature Malgache autant pour sa faune et sa flore que pour ses paysages : du fourré épineux des zones sub-arides, à la luxuriante forêt humide de l’est mais aussi par les forêts sèches de l’ouest, les mangroves, les lacs et rivières sans oublier les vastes zones transformées par l’homme, sortes de déserts herbeux parfois égayés par les rizières aux creux des vallées humides.
La culture de Madagascar est comme sa nature : riche et diversifiée. 
L’insularité ajoutée à un niveau de communication très limité sur de grands espaces a permis à certaines populations très isolées de préserver à travers le temps une culture propre malgré les colonisations successives. 
Aujourd’hui encore, 80de la population est rurale et le lien de la terre est très fort autant en terme d’agriculture que par son caractère sacré. 
La culture orale reste une dominante dans la vie quotidienne des malgaches. En ce qui concerne la langue, la musique, la cuisine, l’artisanat, Madagascar renferme des trésors à découvrir lors de cette opération unique destinée à promouvoir une île en plein essor.

"Conseils pratiques pour voyager à Madagascar"  >>

                          1)- Tortue Radiata

                          2)- Le Tivoka

                          3)- papillon Xanthopan Morganii

                          4)- Bombyx du murier (La légende de la soie) &  le ver à soie de Madagascar

                          5)- Le Coton de Tuléar

                          6)- Le Fossa

                          7)- Le Lemurien

 

Tortue rayonnée, radiated tortoise

(Astrochelys radiata)

+ détails  Tortue Radiata >>

Tortue endémique de Madagascar, considérée selon la légende comme descendant de la tortue de mer. Elle est devenue rare, d'abord parce qu'elle est pourchassée à cause de sa chair, ensuite les reserves et les stations forestières qui l'abritent sont menacées par les feux de brousse. La répartition géographique de la  Tortue Rayonnée  se limite aux zones sablonneuses du sud-est de Madagascar...

Inona aza ireo?

Hita any Madagascar...  

+ détails  Le Tivoka >>

Les oiseaux de Madagascar comprennent environ 300 espèces regroupés en plusieurs familles. Dans la famille des Cuculididaes, nous retrouvons les 10 espèces de Couas malgaches tous endémiques. notre Coua Huppé est un bel oiseau de 40 cm de long environ à l'âge adulte. Sa tête est surmontée d'une huppe bleu-gris qui se dresse quand il est en alerte. 

Coua Huppé - Le Tivoka

Info TetezamitaKely

 

+ détails  papillon Xanthopan Morganii >>

Xanthopan morganii (papillon de nuit de Madagascar)

La trompe de certains papillons, qui leur sert à aspirer le nectar des fleurs, peut être très longue, ce qui leur permet d'atteindre le fond de corolles inaccessibles aux autres insectes, c'est le cas du Papillon de nuit (Xanthopan Morganii ).

L'Angraecum sesquipedale aux trois fleurs blanches est célèbre pour son éperon de 35 cm où vient butiner un papillon nommé Xanthopan morgani doté d'une longue trompe qu'il ne déroule qu'à proximité de cette orchidée...

 


Vers à soie
à Madagascar

+ détails  sériculture & moriculture >>

  • La culture de mûriers ou moriculture. Le mûrier tout en étant l’aliment principal du ver à soie, protège les bassins versants et restaure la fertilité du sol.

  • L’élevage du bombyx ou sériciculture nécessaire à la production du fil de soie et à la reproduction des graines.

  • La transformation de la soie.

Du Bombyx  à la soie de Madagascar

Deux sortes de soies existent à Madagascar : l'une est fabriquée à partir de l'élevage de vers à soie, et l'autre par le Borocera Madagascariensis, ver à soie sauvage vivant dans l'arbre de tapia. Ce dernier est endémique à Madagascar.

 

Le Coton de Tuléar

Une légende nous raconte les origines de ce coton de Tuléar. Comme toutes les légendes, il y a probablement une part de vérité.
Au XVIe siècle, Tuléar (Toliara), port de Madagascar était le point de départ de nombreux échanges commerciaux avec l'Europe et notamment la France.
Au cours d'un de ces voyages, on raconte que des pirates ont attaqué un bateau où se trouvait une très jolie femme accompagnée de trois petites « bichonnes » Belle, Bijou et 
Trésor...  Lire la suite

 

- Faune  de Madagascar- 

lematin.ma 21/01/2010 
Grâce à de forts courants marins : Les mammifères arrivés à Madagascar - Par AFP 
Des courants maritimes favorables auraient permis à de petits mammifères, juchés sur des branchages, d'atteindre l'île de Madagascar voici quelque 50 millions d'années, selon une étude publiée mercredi par la revue scientifique «Nature». 
Madagascar abrite une faune originale, avec une grande diversité de mammifères appartenant à un nombre limité «d'ordres» de classification: lémuriens, carnivores, rongeurs, tenrécidés (différents animaux ressemblant aux hérissons, musaraignes, souris et même aux otaries). Comment ils ont pu arriver sur l'île restait un mystère.
De forts courants océaniques circulant d'Ouest en Est, entre le continent africain et l'île, voici 20 à 60 millions d'années, auraient permis leur migration, selon Matthew Huber (Purdue University, Etats-Unis) et Jason Ali (Université de Hong Kong). Ils ont effectué des simulations informatiques tenant compte de la géographie de la Terre à cette époque.
Les courants maritimes actuels ne permettraient pas d'effectuer un tel trajet. Des scientifiques avaient donc supposé que la migration avait pu s'effectuer grâce à des «ponts de terre» reliant l'île et le continent africain.
Les lémuriens seraient arrivés les premiers, voici 60 à 50 millions d'années, suivis des tenrécidés (42 à 26 millions d'années), puis des carnivores et des rongeurs il y a une vingtaine de millions d'années, selon des estimations faites d'après leur évolution génétique.
«Si des ponts de terre étaient responsables» de ces migrations, «une plus grande variété d'animaux auraient traversé» et leurs arrivées auraient coïncidé avec l'extension maximale de ces ponts, ce qui ne correspond pas aux données, expliquent MM. Ali et Huber.
Ils soulignent l'absence sur l'île de gros animaux terrestres: antilopes, singes, éléphants, lions.
Leur simulation des courants océaniques passés tend à confirmer une hypothèse vieille de 70 ans: l'utilisation de troncs ou branchages comme radeaux portés par les courants. Des tempêtes tropicales auraient pu arracher ces «îlots» de fortune au rivage, selon MM. Ali et Huber.
Compte tenu de la vitesse des courants, la traversée aurait pu durer 25 à 30 jours. Seuls des petits animaux aux besoins énergétiques réduits, voire capables d'une «torpeur saisonnière», comme l'avait supposé en 1940 le paléontologue américain George Simpson, semblent avoir pu l'entreprendre avec succès. 

 

 

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Page mise à jour par TetezamitaKely  Serge Ratsimba-Rajohn   /  20 janvier  2005

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